Nos patients sont tous demandeurs de cicatrices de plus en plus discrètes et souhaiteraient les faire disparaître coûte que coûte.
Les dernières avancées technologiques en matière de cicatrisation permettent de caresser l’espoir de voir disparaître un jour les stigmates incontournables d’une intervention chirurgicale.
Les cicatrices laissées par une intervention de chirurgie esthétique sont imprévisibles et aléatoires, différents facteurs influent sur leur évolution comme la localisation, le type de geste effectué, l’âge, la qualité de la peau et le mode de vie du patient (tabac…).
Il est désormais possible de modifier l’évolution des cicatrices en les rendant plus discrètes et plus jolies grâce à un concentré de technologie ayant donné naissance au laser UrgoTouch.
Qu’est-ce qu’une cicatrice « idéale » ?
On ne peut parler d’idéal cicatriciel pour le moment mais les technologies actuelles nous permettent de tendre vers des résultats de plus en plus satisfaisants.
D’un point de vue cosmétique, une cicatrice satisfaisante doit répondre à ces critères:
• une situation parallèle aux plis et aux lignes de tensions d’une peau relâchée
• une ligne fine et discrète
• souple et peu épaisse, au même niveau que la peau voisine
• une couleur similaire à celle de la peau environnante = pas d’ hypo ou hyper pigmentation En un mot, la cicatrice doit « mimer » l’aspect de la peau voisine et se fondre dans celle-ci pour s’y dissimuler.
Le processus de cicatrisation
La cicatrisation est un processus naturel intervenant pendant la guérison et permettant aux plaies de se refermer.
Ce processus est propre à chacun et peut varier de façon importante d’un patient à l’autre. En effet, la durée et l’efficacité de la cicatrisation peuvent différer en fonction de la physiologie du sujet et de la zone devant cicatriser. L’empreinte laissée par la cicatrice sera plus ou moins visible sur la peau. Après une plaie, les cellules de la peau vont se multiplier et fabriquer des fibres de collagène. Les fibres vont par la suite développer un réseau de tissus fibreux qui remplaceront les tissus détruits ou endommagés. Le processus de cicatrisation se décompose en trois phases :
.Une première phase d’environ 15 jours, qui commence juste après l’intervention, la cicatrice est alors peu visible
. Une deuxième phase, qui dure de trois à six mois, elle témoigne de l’évolution en profondeur de la cicatrice qui devient dure, rouge avec parfois des démangeaisons et une surélévation, la cicatrice est alors visible
. Une troisième phase, qui peut durer d’un à deux ans, au cours de laquelle la cicatrice blanchit et s’assouplit pour atteindre son aspect final: souple, insensible et blanche
Le laser UrgoTouch
Afin d’influer sur le processus de cicatrisation et améliorer l’aspect des cicatrices, le laboratoire Urgo Médical a développé le laser UrgoTouch.
Le fonctionnement de ce laser repose sur l’utilisation de la chaleur, qui va se diffuser en profondeur dans la peau et stimuler la production des fibres de collagène.
Sa technologie Scar Control System permet de contrôler la quantité d’énergie fournie et ainsi de prévenir tout risque. Le traitement de la cicatrice avec le laser UrgoTouch est indolore puisqu’il est réalisé alors même que vous êtes encore anesthésié, au bloc opératoire, à la fin de la suture pour agir au stade le plus précoce de la cicatrisation.
Les résultats
Le laser UrgoTouch a fait l’objet d’une étude clinique sur 40 patientes opérées pour une réduction mammaire.
Suite à l’utilisation du laser, les praticiens ont étudié cinq paramètres qui déterminent la qualité d’une cicatrice (vascularisation, pigmentation, épaisseur, relief, surface de la cicatrice) et ont constaté une amélioration moyenne du volume de la cicatrice de 36%.